Sud-Kivu: Célébration de la journée internationale de la santé de malades mentaux

Plus de 350 personnes ce sont réunies dans la salle polyvalente du de centre SOSAME de Kharale qui est un centre de traitement Psychothérapeutique de la commune de Kadutu, ville de Bukavu à l’occasion de 27e célébration de la journée internationale de la santé de malades mentaux célébrés chaque le 26 Février de chaque année. Cette activité de grande envergure est l’œuvre de l’organisation membre du réseau CODIC à savoir FONDATION KARALE en connivence avec les membres des organisations du réseau CODIC Karhale et CODIC Panzi. Les musiques chrétiennes agrémentées par la structure organisatrice, suivie par AFRICA MOTO jeune structure du réseau CODIC Panzi de la danse, musiques traditionnelles et des mises en scènes des théâtres pour la promotion du DAS et l’application du MONDAS ont fait participé les malades mentaux dans plusieurs scènes des danses, des chants qui sont à la « une » et dans les théâtres par des paroles et gestes imprévisibles pour leurs guérison de ces malades pr Il est à signaler que la célébration de cette journée a connu la participation de plusieurs partenaires locaux entre autres le représentant de l’Etoile du Sud en sigle « EDS », de la Jeunesse du Monde, de la Ligue des Jeunes pour le Développement en sigle « LJD », CEJEDER, la vision des Jeunes d’Afrique, les représentations de certains axes du CODIC Sud Kivu comme Commune de Bagira, d’Ibanda à la Beauté et à Panzi, de territoire de Walungu, de commune de Kadutu, les séminaristes de la congrégation notre dame de la paix,… Au terme de la manifestation plusieurs personnes morales comme celui de coordinateur des droits des enfants de SOS Karhale, a salué la mise en scène de l’éducation qui cause aux enfants d’être affecté psychologiquement jusqu’à l’aboutissement de trouble mental, et tant d’autres ont salué l’initiative des organisations membres du CODIC de continuer avec ces initiatives mêmes aux plus marginalisés, présents dans de la société Congolaise. Pour CODIC Sud Kivu Floribert MUGANZA

SEJOUR DU MOUVEMENT INTAL BELGIQUE A KINSHASA

Le mouvement INTAL-Belgique a rendu une visite aux partenaires de VIVA SALUD au Congo du 06 au 18 juillet 2018. Cette visite avait comme objectif principal de faire un échange d’expérience entre les trois organisations engagées pour le droit à la santé (DAS) dans leur milieu respectif. Les activités ont débuté le samedi 07 juillet 2018 à partir de 9h00, au siège de l’Etoile du Sud, situé sur la 1ère rue, dans la commune de Limete. Une réunion tripartite de prise de contact en vue d’actualiser le calendrier d’activités de l’Intal a eu lieu le même jour. De cette entrevue, un calendrier commun harmonisé des activités d’INTAL a été élaboré pour leur séjour à Kinshasa. Pour ce qui nous concerne, une séance de travail en aparté entre le CODIC et l’INTAL s’est tenue le 10 juillet 2018 à 9h00’ au siège du CODIC situé au croisement de l’avenue Bokasa et Kibati, dans la Commune de Kinshasa. La séance de travail était portée sur une série d’échanges d’expériences avec les structures provinciales, communales ainsi que les filières du CODIC/VPK. Ces échanges d’expérience ont permis aux membres de l’INTAL, d’avoir une vision claire de travail du CODIC et de ses structures (opérationnelle et administrative) auprès de la population. Par ailleurs, nous avons poursuivi les travaux dans la commune de Masina au centre de formation du droit à la santé, CEFODAS en sigle, par un atelier de formation autour de la communication, le 16 juillet 2018 à 9h00’. C’était un renforcement des capacités en communication dont les membres d’INTAL ont eu à expliquer la réalisation, le montage et la publication d’une petite vidéo dans un laps de temps. Il s’en est suivi une randonnée touristique des différents lieux symboliques de la ville de Kinshasa notamment : la place de la gare centrale, la place des évolués, la RTNC, le stade des martyrs et le palais du peuple, Kinsuka-pécheur, une intrusion dans la vie des singes Bonobos au parc de KIMWENZA en périphérie de Kinshasa etc. Malheureusement, la Brigade de l’Intal n’a pas pu visiter la place Lumumba à Kinshasa, par manque d’autorisation de la part des autorités compétentes. Il est à noter que la délégation D’INTAL-Belgique était composée de 6 personnes dont Antoine, Alicia, Nathalie, Stein, Jackie et Philippe. Le séjour des membres d’INTAL s’est déroulé sans anicroches durant deux semaines. La plus-value de cette visite est sans conteste l’atelier du CEFODAS sur la communication qui a permis aux membres des structures du CODIC et EDS de s’approprier sur le montage d’une petite vidéo avec le téléphone Android pour promouvoir et assurer la visibilité de leurs activités. En outre, la rédaction et publication par INTAL d’un article sur la vie de « Papa Olivier » du CODIC/VPK en tant qu’activiste de la société civile ; article se focalisant sur les différents choix politiques, socio-économiques, culturels et autres qu’un individu est contraint de faire dans sa vie selon ces convictions profondes et en harmonie avec sa conscience. Choix cornélien à faire dans un contexte hostile et un environnement défavorable. Cet article met en exergue la dualité, la duplicité ou le combat interne d’un homme issu de la grande bourgeoisie Congolaise, ayant grandi dans un milieu prolétaire en Belgique et de retour dans son pays, a choisi comme dogme ou créneau : la lutte contre les injustices et inégalités sociales. Tous ensembles pour le droit à la santé.  Le Secrétariat Exécutif CODIC/VPK

RAPPORT DES REUNIONS D’ECHANGES D’EXPERIENCES ENTRE LES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE MEMBRES DU RESEAU CODIC

En date du 06 au 07 Mai 2018, s’est tenu dans la salle de SIFA ZA BWANA,  un atelier  d’échanges d’expérience dans la commune de KADUTU regroupant les Organisations de la Société Civile de trois communes de la ville de Bukavu membres du Collectif de Développement Intégré au Congo. Il s’agit de : Commune de Kadutu Nord, Sud et Est ; Commune d’Ibanda ; Commune de Bagira Durant ces assises, 5 points étaient inscrits et adoptés à l’ordre du jour à savoir : La présentation des participants Explication de l’activité Exposé des expériences des comités communaux du réseau CODIC Echanges questions et réponses Défis à relever par les OSC membres du CODIC pour un plaidoyer basé sur le résultat. Après la présentation des participants et une explication brève de l’activité, nous sommes passés directement au point porté sur les exposés d’expériences des communes de la ville de Bukavu. EXPOSE SUR LES EXPERIENCES DES COMITES COMMUNAUX DU RESEAU CODIC Cette étape avait consistée à la présentation des activités réalisées dans le cadre de plaidoyer dans la gouvernance de l’eau des communes et les difficultés rencontrées mais aussi les solutions envisagées pour y contourner. Objectif de l’activité : Partager  les connaissances, les difficultés et les modes de contournement pour aboutir aux résultats des plaidoyers. Commune D’Ibanda Les Organisations de la Société Civile membres du réseau CODIC réunies à Panzi  ont abouti à la réussite de plaidoyer sur la construction de 6 bornes Fontaines qui sont prises en charge par le budget participatif. Quand au remise et reprise, cela n’avait pas été faite et n’avait pas eu lieu, mais actuellement le réseau CODIC et ses OSC membres sont parvenus à persuader le comité sortant qui est entré d’intégrer à travers une collaboration dont maintenant le résultat est qu’ils nous ont donné le numéro du compte bancaire logé à la coopérative de micro crédit de CAHI où l’on a trouvé 120$ de cotisation. S’agissant de la gestion des bornes fontaines communautaires qui semblaient appartenir à un individu en la personne de Monsieur KAHASHA, une solution a été trouvée après l’avoir invité dans la réunion du réseau CODIC avec ses organisations membres. Nous avons effectué un débat de plus de trois heures et enfin nous sommes aboutis au résultat commun. C’est qu’il va céder les bornes sous la gestion des OSC membres du réseau CODIC à travers les Comité local de Paix et de Développement (CLPD). Pour ce qui est du plaidoyer sur l’insécurité, nous sommes partis au bureau du Ministère provincial et celui du Bourgoumestre de la commune où nous avons rencontré quelques autorités.  Avec elles, nous nous sommes fixés un programme sur la tenue d’un cadre d’échange entre les communautés de PANZI (toutes les couches de la population et les leaders) et nous avons abouti au point qu’il faut remettre la police dans les quartiers et installer des conteneurs. De cet entretien, le ministère a promis les ordinateurs, chose qui l’a réalisé en nous dotant 6 ordinateurs Lap Top pour ouvrir un centre d’encadrement des jeunes désœuvrés, plus de 15 TalkiHak(Motorola) aux cadres de base et la société civile membre du réseau CODIC. Dans le quartier de NGUBA, avec le système de BIZOLA (creusement des puits domicile non entretenu que l’on fait payer de l’eau qui cause des maladies hydriques) qui est source d’approvisionnement de l’eau pour vivre et d’autres personnes sont victimes de noyade  des enfants de moins de 18 ans dans la Rivière RUZIZI pour l’Avenue GUHAMBA, BRIGIGNON, Quartier LATIN, des violences sexuelles enregistrées à des heures tardives et matinales suite à la recherche d’eau potable à la source de l’Avenue IRAMBO. COMMUNE DE KADUTU NORD La partie Nord de la commune de Kadutu  comprend le quartier suivant CIMPUNDA et FUNU. Les organisations membres du réseau sont parties par de plaidoyer de la gestion de la source d’eau de FUNU qui arrose toute la partie Nord de la commune de KADUTU en l’absence de la REGIDESO. C’est ce qui a fait aboutir au résultat que le Bourgmestre nous a promis qu’il signera la décision avant la fin de ce mois de juin mais pour y arriver ça n’a pas été facile car il fallait vraiment chaque fois faire de suivi non seulement avec les OSC membres du réseau mais aussi les membres du secrétariat provincial qui nous tire toujours sous ficèle car il fallait,  du fait que vraiment on n’était pas trop rodé. Mais ce qui nous fait tiquer est que le secrétariat ne voulait pas remettre le projet au bourgmestre. Par rapport à l’assainissement, nous sommes parvenus à faire passer deux projets de construction des latrines du marché BASHO et l’autre de la canalisation de Nyamulagira et celui d’ELILA/A dans la FOQUA (Forum du Quartier) pour que ça soit pris en compte dans le budget participatif. Comme difficulté majeure, il y a tiraillement entre le chef de quartier et les Organisations membres du réseau CODIC qui gèrent et accompagnent les actions de la communauté pourrésoudreles problèmes de la gestion de l’eau avec appuis et concours de tous. Nous avons initié un plaidoyer de dépôt de toutes les factures à la REGIDESO après leur collecte car il n’y a pas d’eau dans le quartier ça fait déjà deux mois d’absence d’eau et une fois servie l’eau devient coloré et impropre à la consommation afin d’engager un débat à partir de ces factures qui nous servira d’outil de plaidoyer et pour cela la REGIDESO a accueilli nos factures sans problèmes mais hélas jusqu’à présent il n’y a pas des solutions durables. COMMUNE DE KADUTU SUD A notre niveau nous avons déjà remis notre note de plaidoyer au niveau de la commune qui s’est traduite par un projet de la décision de gestion et de cogestion des sources d’eau de NYAMUGO MAYENGE et de PAS A PAS. Signalons que ce plaidoyer se faisait en conjointe à travers les membres de comités décentralisés du CODIC au niveau des communes dont même le représentant de MOSALA était aussi présent et ceux de, NYAMUGO et BUHOLO toujours sous l’accompagnement de

RAPPORT DE LA COMMEMORATION DE LA JOURNEE INTERNATIONALE DE LA SANTE DU 7/04/2018, TENUE A LUBERO, LE 11/04/2018.

En même temps que le droit à la santé est présenté comme un enjeu pour le développement communautaire, il est aussi un défi majeur à relever. En effet, nul n’ignore que les défenseurs de droits de l’homme ne ménagent aucun effort pour le respect de droits de l’homme. Que ça soient les privations de liberté, les menaces d’assassinat, les assassinats, les contraintes d’exile, ils en sont victimes.. C’est la raison pour laquelle les violations du droit à la santé comme de tous les autres droits de l’homme à quelques niveaux qu’elles se trouvent, méritent d’être dénoncées. Mais auprès de qui ? Par qui ? Là sont les questions qui méritent d’être bravée. Il est des droits acquis mais qu’un individu isolé aurait de difficultés à réclamer. C’est ce qui fonde la nécessité de s’organiser en association telle que Mutuelles de santé en vue de donner à la communauté la double possibilité d’accéder aux soins de qualité en moindre coût et d’être capable d’envisager une action de défense du droit à la santé dans un cadre bien structuré. Les autres associations qui interviennent dans le domaine de la santé ainsi que les domaines connexes comme l’agriculture, l’élevage, l’environnement, les droits humains, … doivent intégrer la défense du droit à la santé. Une fois que le droit à la santé sera devenu effectivement réclamable à tous les niveaux où il est violé, que ce soit contre les prestataires de la santé ou les services publics de l’Etat, la communauté aura relevé le défi. Téléchargez l’intégralité du rapport en cliquant sur le lien ci-dessous RAPPORT DE LA COMMEMORATION DE LA JOURNEE INTERNATIONALE DE LA SANTE DU 7/04/2018, TENUE A LUBERO, LE 11/04/2018.  

RAPPORT ANNUEL DES ACTIVITES DE CO.DI.C DANS LES MILIEUX URBAINS DE LA VILLE DE KISANGANI ET RURAUX POUR LA SANTE, L’ENVIRONNEMENT ET L’HABITAT

Il a été constaté, après nos premiers travaux consacrés aux milieux scolaires, pour le droit à la santé, nous avons ensuite été dans l’obligation de nous atteler dans les mêmes souci de prévenir la population de la ville de Kisangani en particulier et de la province de la Tshopo en générale, contre les maladies liées à l’insalubrité, surtout dans les milieux urbains où beaucoup de parcelles sont exposées aux conditions hygiéniques très mauvaises. Nous avons relevé la présence des hautes herbes, des immondices, des eaux stagnantes, des mauvaises odeurs, de manque de quelques installations hygiéniques (W.C) et autres déchets liés à l’insalubrité. En ce qui concerne l’habitat, nous avions également le devoir impérieux de départager les bailleurs et les locataires enfin de bon climat d’entente par la sensibilisation, la conscientisation et la vulgarisation de la loi n° 15/025 du 31 décembre 2015, relative aux « baux à loyer ». Ainsi un dispositif a été mis en place avec les chefs de l’habitat par la remise aux bailleurs et locataires des carnets de contrat de bail, notifiés et signés par les bourgmestres des communes. Pour ce qui est lié au traitement, nous avons annoncésà la population de Kisangani l’arrivage, à notre possession des nouveaux produits ARHF venus de notre Direction Nationale de CO.DI.C. Téléchargez l’intégralité du rapport en cliquant sur le lien suivant: RAPPORT ANNUEL DES ACTIVITES DE CO.DI.C DANS LES MILIEUX URBAINS DE LA VILLE DE KISANGANI ET RURAUX POUR LA SANTE, L’ENVIRONNEMENT ET L’HABITAT    

CODIC SUD KIVU: L’ACTIVITE DE LA COMMEMORATION DU 08 MARS

A l’occasion de la commémoration du 08 Mars qui la journée internationale de la femme, le comité décentralisé du réseau CODIC Sud Kivu dans le quartier Urbano-rural d’IGOKI en collaboration avec l’institut Saint Christoph et les organisations locales comme Union pour le Développement d’Igoki et d’autres organisations de cette conté ayant manifesté la volonté de mettre en œuvre le mouvement du DAS. Certains axe du CODIC ont pris part à cette manifestation comme CODIC Panzi et Nyantende. Plus de 270 personnes constituées majoritairement des jeunes filles, garçons et femmes se sont réunies dans le quartier Urbano-rural d’IGOKI de la commune de BAGIRA au sein de l’institution Saint Christoph. Le thème choisi pour le moi de la femme du 2018 avec les partenaires du réseau CODIC Sud Kivu est : « Place de la Jeune fille et de la femme dans la mise en Œuvre du Mouvement Nationale du Droit à la Santé ». Cette activité a connue la participation de différentes autorités politico-administratives de la base de la police, de militaire, le chef de groupement et plusieurs autres organisations ont participé à cette activité. Il est à signaler que plusieurs suggestions ont été recommandées pour cette fin pour la capacitation de la jeune fille et femme et la formation pour d’autres organisations.