L’INSALUBRITE ET L’INSECURITE DANS LA COMMUNE DE BANDALUNGWA ET CELLE DE SELEMBAO

ETUDE REALISEE SUR BASE DES DONNEES DE LA CONCERTATION DES ORGANISATIONS DE LA COMMUNE DE BANDALUNGWA ET CELLES DE SELEMBAO                                      AUTEUR : Prosper MBAU                                      ASSISTANT : Ernest ITENDE                                      REALISATION : Novembre 2017                                      Publication : octobre 2018 L’insalubrité et l’insécurité sont les deux fléaux qui sont au centre des préoccupations des habitants de la ville province de Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo. Deux communes du district de la Funa font l’objet de cette étude. Il s’agit de la commune de Bandalungwa et celle de Selembao. L’objectif principal est de récolter les informations à la base sur ces deux thèmes, c’est-à-dire auprès des représentants des organisations de la société civile qui vivent ces réalités sur terrain dans les deux communes précitées. Les informations récoltées sur terrain seront analysées suivant une méthode statistique pour estimer le taux d’insalubrité et d’insécurité dans la commune de Bandalungwa et celle de Selembao. Une fois en possession des résultats d’analyse, les participants dresseront une liste des suggestions qui seront soumises à l’autorité pour qu’elle envisage avec la population les pistes des solutions. Télécharger le document de l’étude dans son intégralité en cliquant sur le lien-ci L’INSALUBRITE ET L’INSECURITE DANS LA COMMUNE DE BANDALUNGWA ET CELLE DE SELEMBAO Tél. 00243 89 89 38 396 E-mail : codic2008ongd@gmail.com www.codic-rdc.org SYNERGIE-CONCERTATION-AUTOPROMOTION-DEVELOPPEMENT

LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO PASSE A COTE DU TRAIN DE LUMUMBA

Depuis l’accession de République Démocratique du Congo à l’indépendance, le 30/06/1960, ce pays a connu certains événements douloureux qui empêchent son décollage. Les multiples crises politiques, économiques, sociales, guerres ethniques : les plus marquantes sont les guerres ethniques et institutionnelles. Depuis l’accession du pays à la souveraineté internationale, il a excellé dans l’instabilité politique et institutionnelle. Pourquoi la RDC est passée à côté du train de Lumumba ? Durant sa carrière politique et d’homme d’Etat, le héros national Emeri Patrice Lumumba avait balisé et tracé la ligne de conduite à suivre pour le développement du pays dans deux documents importants, malheureusement peu connu de l’opinion publique congolaise, il s’agit : Le Congo terre d’avenir est-il menacé ? (Livre) Le discours du 30/06/1960 à la nation. (Jour d’accession du pays à l’indépendance) Dans ces documents qui font de nos jours l’actualité de la RDC, Lumumba a exprimé clairement sa pensée politique, économique et sociale pour le développement durable du pays, le cas échéant nous citons l’extrait de son discours: « Ensemble mes frères, mes sœurs, nous allons commencer une nouvelle lutte, une lutte sublime qui va mener le pays à la paix, à la prospérité et à la grandeur. Nous allons établir ensemble la jus tice sociale et assurer que chacun reçoive la juste rémunération de son travail. Nous allons montrer au monde ce que peut faire l’homme noir lorsqu’ il travaille dans la liberté, et nous allons faire du Congo le centre de rayonnement de l’Afrique… » La responsabilité de la RDC pour le développement de l’Afrique et son épanouissement est grande, la lutte pour la paix, la prospérité et la justice sociale est loin d’être remportée mais grâce à l’effort de tous, nous y parviendrons.  À L’aube de notre indépendance une série d’évènements douloureux et malheureux se sont abattus sur la nation et de nos jours, guerres ethniques, crises politiques, sécessions, guerres de contrôle des minerais stratégiques, rébellions et crises institutionnelles. La RDC est passée à côté à cause de cette panoplie de faits tragiques qui freinent le développement du pays. Il n’y a pas de paix, ni de la justice sociale. Soyons conscients du rôle qui est le nôtre en Afrique, prenons notre destin en main. Forgeons notre conscience individuelle et collective pour l’intérêt communautaire. Nous avons battu en brèche les idées du héros, cela empêche le pays d’entrer dans le train de prospérité de Lumumba. Les conséquences sont nombreuses, dévastatrices et désastreuses pour n’avoir pas suivi le sentier tracé par ce héros : La mauvaise gouvernance des ressources et du patrimoine national ; L’absence de définition d’une politique financière pouvant entrainer la croissance et le développement durable; Le manque de suivi des différentes mesures proposées pour sortir des crises ; Le non prise en compte de l’importance du secteur agricole  qui constitue le levier du développement rural  du pays; Les crises politiques, institutionnelles permanentes et répétitives depuis 1960 dans l’appareil de l’état ; Fissure de la cohésion nationale par la géopolitique factice créée par les uns et les autres soit pour défendre leur position au pouvoir ou leur cause d’opprimés. La république doit se libérer de la  néo-colonisation économique, politique, éducationnelle et religieuse. Cela est possible, s’il y a une remise en question et conscience d’être opprimé et dominé par l’impérialiste. Personne ne pourra jamais libérer le congolais, s’il n’est lui-même l’acteur principal ; le secours des autres ne viendra qu’après. C’est de cette manière que la République Démocratique du Congo montera dans le train de changement, de liberté, de dignité, de solidarité, de paix et d’unité nationale. Il a fallu cinquante ans pour cimenter l’unité nationale défendue par tous jusqu’à la dernière goutte de sang de nos compatriotes, seule la prise de conscience individuelle, collective et la lutte contre le néocolonialisme, l’impérialisme et la mondialisation de honte libérera la nation contre ce joug. Les difficultés n’ont jamais été une fatalité éternelle mais plutôt passagère. Le bonheur est le fruit  de lutte, des sacrifices et de solidarité sans égoïsme ni haine. Le pragmatisme politique, économique et social accélèrera la croissance durable du pays. Les prouesses de réalisation de Mzee LD. KABILA de mai 1997 en janvier 2001 ont été une preuve éloquente. Le développement du pays peut se faire en un laps de temps et la nation  retrouvera sa dignité et sa marque des années 1960-1970. La détermination des toutes les couches  et des gouvernants permettra de vaincre le cortège des souffrances de ces jours : pauvreté, misère, sous-alimentation,  difficultés d’accéder aux soins de santé de qualité, manque d’emploi etc. Pourquoi un tableau sombre pour le pays ? Certes, la faute revient aux congolais. Un Honorable Sénateur de la RDC a écrit un livre : « La république des inconscients ». Dans celui-ci, il montre les faiblesses des congolais que nous pouvons surmonter. Ces faiblesses existent d’ accord mais ne sont pas une fatalité, il est possible de les vaincre.  Le pays dispose des ressources pour la réalisation de tout projet ambitieux et dans différents  domaines. Le pays est un paradoxe naturel des ressources diversifiées : agriculture, population, géologie, forêt, faune, minerais stratégiques et précieux. La corbeille de la production nationale sera un jour pleine, cela dépend de l’éveil de conscience des congolais.  Thomas SANKARA disait : gloire éternelle à un peuple qui lutte pour sa liberté. Quand commencera la lutte pour la liberté en RDC ? Ces lignes sont notre modeste contribution à la construction de l’édifice national et constitue un carnet d’espoir pour tous. La conjugaison cumulée d’efforts de toute la nation sera la clef de la réussite et du changement pour un développement durable. L’amour de la mère patrie est l’unique prétention qui est au centre de ce texte et nous avons voulu être à l’écart de toute interprétation des mauvaises langues. La récupération pour des faits politiques de cette modeste contribution est hors débat. Après une lecture attentive de ces lignes, vous pouvez répondre à cette question : Que représente pour vous la République Démocratique Congo? Que vive la RDC ! Que vivent nos héros!   Gaston KAYENGA

BREVE HISTORIQUE DE LA SOCIETE CIVILE DE LA RD CONGO DE LA COLONISATION A NOS JOURS

La société civile est un corps composé de plusieurs forces vives de la nation,  avec les mêmes objectifs pour l’accompagnement social du peuple, elle est un rempart d’expression libre de la population pour qu’elle se sente libre et participe au développement de la communauté et de la patrie. Le concept «société civile » est défini de plusieurs manières et cela dépend d’un auteur à l’autre. Dans leur ouvrage Baudouin HAMULI et ali…, la société civile congolaise, état des lieux et perspectives, définissent la société civile comme tous les groupes de citoyens en dehors de l’appareil gouvernemental incluant notamment les groupes d’actions, les organismes bénévoles, les académiciens, les organisations non gouvernementales, les organismes sans but lucratif, les syndicats et les milieux d’affaires. « ensemble d’associations publiques non gouvernementales qui canalisent l’expression des différents intérêts populaires » « ensemble des organisations et des associations de diverses natures, mais sans but lucratif, qui la compose plutôt que des individus » leurs actions font partie des formes de conduite collective. La société civile congolaise est structurée en formation des volontaires et bénévoles organisées et dynamiques. Elle constitue une mosaïque particulièrement vaste et hétérogène dont les contours sont difficiles à établir, qui s’ étendent sans cesse au fur et en mesure que deux ou plusieurs individus décident d’ exercer leur liberté et le droit d’association en fondant ensemble une organisation qui leur permette de réaliser en commun leurs objectifs, conforment à la loi, et indépendamment de l’ intrusion non autorisée des pouvoirs publics dans leur fonctionnement ». Depuis la colonisation à nos jours la société civile congolaise a joué un rôle déterminant dans la conduite des affaires publiques, d’ encadrement de la population à la base et de libération (les mouvements clandestins Kimbanguiste et Kitalawa avant l’indépendance pour revendiquer l’ indépendance et l’ auto-détermination) , rappelons-nous du groupe des élites intellectuelles de l’époque à la tête, le feu Cardinal Joseph MALULU, le syndicaliste BOBOLIKO LOKONGA, les artistes comme Joseph KABASELE alias grand KALÉ avec sa composition magistrale : « Indépendance tsha-tsha tozuie… qui revêt un caractères civique de mobilisation de la nation congolaise de l’ époque, les pionniers et précurseurs de l’ indépendance sont cités dans la chanson pour leurs rendre hommage, voilà un fait historique inoubliable et patriotique ». La société civile des années 1990 et 2000 a eu également certaines figures de proues telles que Cardinal MONSENGWO, Monseigneur MARINI, docteur NUMBI, Abbé MALUMALU,  BAHATI LUKWEBO, B. HAMULI, Norbert YAMBAYAMBA,  Madeleine KALALA, Marie-Ange LUKIANA, FAIDA MWANGILWA, Steve MBIKAYI, les nouvelles générations montantes TSHOMBELA, Dani SINGOMA, Déo KAMALIRO, Eric KAMBALE, Sylvie LUZALA et bien d’autres. Les confessions religieuses sont des piliers et maillons forts de la société civile congolaise et jouent un rôle déterminant dans l’histoire immédiate du pays. La société civile de la RDC est une véritable école de formation et réservoir stratégique pour la classe politique congolaise, elle a su jouer son rôle pendant les moments difficiles et au cours de l’histoire du pays et n’a jamais été absente au cours des tournants importants de l’histoire. La société civile de la RDC n’a rien à envier à d’autres sociétés civiles du monde, elle a déjà franchi toutes les étapes et atteint la sommité de l’imperium par le feu Président KASA VUBU.  Et a  toujours été régie par des lois pour éviter le dérapage  qui permettent à celle-ci de jouer son rôle dans la société congolaise. Nous mettons à votre disposition une série de lois qui retrace le parcours et fonctionnement de la société civile du pays de la colonisation à nos jours : Le décret du 19 juillet 1926 sur les établissements d’utilité publique dus à l’initiative privée. Le décret du 24 mars 1956 sur les coopératives indigènes. Le décret du 26 novembre 1959 sur les institutions d’utilité publique. Le décret-loi du 18 septembre 1965 relatif aux associations sans but lucratif (ASBL). Le décret-loi n°195 du 29 janvier 1999 portant règlementation des associations sans but lucratif et des établissements d’utilité publique. La loi n°004/2001 du 20 juillet 2001 portant dispositions générales applicables aux associations sans but lucratif et aux établissements d’utilité publique. (Cité par B. HAMULI et ali…, PP27-28) Parmi les associations sans but lucratif, nous avons : les associations culturelles, sociales et éducatives, sportives, organisations non gouvernementales de développement, de défense des droits humains, les associations confessionnelles (religieuses ou spirituelles), féminines, les syndicats des travailleurs et employeurs, les associations professionnelles, humanitaires et philanthropiques, paysannes, coopératives, les ordres professionnels, les associations de la presse libre et indépendante, les sociétés savantes et scientifiques. Les partis politiques sont exclus dans le rayon de la société civile selon la loi congolaise et les autres groupements qui participent à la gestion du pouvoir public et il y a une distinction nette entre le deux. Ce qui reste en commun cependant, c’est le fait que les limites et la mobilité ne sont pas figées, immuables ni mutuellement exclusives. Le passage vers l’un et l’autre n’est qu’un pas de conviction et de vision idéologique. La loi n°004/2001 du 20 juillet 2001 tient compte de ces paramètres cité ci-dessus dans sa teneur et libéralise complètement le champ des associations sans but lucratif, et consacre la nécessité de faire participer ces institutions à la conception ainsi qu’à l’exécution de politiques publiques. Cette loi sécurise la société civile dans son ensemble malgré la rigueur de certaines dispositions juridiques de la loi. La société civile congolaise a eu à jouer un rôle déterminant et continue à se faire remarquer en république Démocratique du Congo. Avant l’indépendance, elle était marquée par les mouvements citoyens religieux clandestins du révolutionnaire et prophète Simon Kimbangu, le Kitawala etc. l’éveil de l’élite intellectuelle va intervenir plus tard  vers la fin de la colonisation. Les mouvements citoyens n’est pas un phénomène nouveau dans la société civile congolaise mais plutôt une évolution cyclique. La société civile a l’ obligation dans son fonctionnement de sensibiliser, organiser, mobiliser et former ses cibles (population) autour des notions d’ éducation civique, citoyenne et politique afin de développer sa conscience critique pour mieux revendiquer ses droits et liberté. Pour y parvenir seul, l’empowerment populaire permet

SEJOUR DU MOUVEMENT INTAL BELGIQUE A KINSHASA

Le mouvement INTAL-Belgique a rendu une visite aux partenaires de VIVA SALUD au Congo du 06 au 18 juillet 2018. Cette visite avait comme objectif principal de faire un échange d’expérience entre les trois organisations engagées pour le droit à la santé (DAS) dans leur milieu respectif. Les activités ont débuté le samedi 07 juillet 2018 à partir de 9h00, au siège de l’Etoile du Sud, situé sur la 1ère rue, dans la commune de Limete. Une réunion tripartite de prise de contact en vue d’actualiser le calendrier d’activités de l’Intal a eu lieu le même jour. De cette entrevue, un calendrier commun harmonisé des activités d’INTAL a été élaboré pour leur séjour à Kinshasa. Pour ce qui nous concerne, une séance de travail en aparté entre le CODIC et l’INTAL s’est tenue le 10 juillet 2018 à 9h00’ au siège du CODIC situé au croisement de l’avenue Bokasa et Kibati, dans la Commune de Kinshasa. La séance de travail était portée sur une série d’échanges d’expériences avec les structures provinciales, communales ainsi que les filières du CODIC/VPK. Ces échanges d’expérience ont permis aux membres de l’INTAL, d’avoir une vision claire de travail du CODIC et de ses structures (opérationnelle et administrative) auprès de la population. Par ailleurs, nous avons poursuivi les travaux dans la commune de Masina au centre de formation du droit à la santé, CEFODAS en sigle, par un atelier de formation autour de la communication, le 16 juillet 2018 à 9h00’. C’était un renforcement des capacités en communication dont les membres d’INTAL ont eu à expliquer la réalisation, le montage et la publication d’une petite vidéo dans un laps de temps. Il s’en est suivi une randonnée touristique des différents lieux symboliques de la ville de Kinshasa notamment : la place de la gare centrale, la place des évolués, la RTNC, le stade des martyrs et le palais du peuple, Kinsuka-pécheur, une intrusion dans la vie des singes Bonobos au parc de KIMWENZA en périphérie de Kinshasa etc. Malheureusement, la Brigade de l’Intal n’a pas pu visiter la place Lumumba à Kinshasa, par manque d’autorisation de la part des autorités compétentes. Il est à noter que la délégation D’INTAL-Belgique était composée de 6 personnes dont Antoine, Alicia, Nathalie, Stein, Jackie et Philippe. Le séjour des membres d’INTAL s’est déroulé sans anicroches durant deux semaines. La plus-value de cette visite est sans conteste l’atelier du CEFODAS sur la communication qui a permis aux membres des structures du CODIC et EDS de s’approprier sur le montage d’une petite vidéo avec le téléphone Android pour promouvoir et assurer la visibilité de leurs activités. En outre, la rédaction et publication par INTAL d’un article sur la vie de « Papa Olivier » du CODIC/VPK en tant qu’activiste de la société civile ; article se focalisant sur les différents choix politiques, socio-économiques, culturels et autres qu’un individu est contraint de faire dans sa vie selon ces convictions profondes et en harmonie avec sa conscience. Choix cornélien à faire dans un contexte hostile et un environnement défavorable. Cet article met en exergue la dualité, la duplicité ou le combat interne d’un homme issu de la grande bourgeoisie Congolaise, ayant grandi dans un milieu prolétaire en Belgique et de retour dans son pays, a choisi comme dogme ou créneau : la lutte contre les injustices et inégalités sociales. Tous ensembles pour le droit à la santé.  Le Secrétariat Exécutif CODIC/VPK

Formation des responsables des OSC et OCB des communes de Ngiri-Ngiri – Bandalungwa – Bumbu – Selembao

Dans le cadre de la mise en œuvre du nouveau programme 2017-2021 du partenaire M3M, le CODIC/VPK en collaboration avec la Coordination Nationale et avec l’appui de Médecine pour le Tiers Monde(M3M), a réalisé cette formation sur le DAS au bénéfice des différents responsables des OSC et OCB nouvellement recrutées dans cette partie de la ville, des autorités politico administratives également en vue de renforcer la construction d’un mouvement national autour du DAS(MONDAS) justifiant notre lutte contre les inégalités et injustices sociales en se focalisant sur les déterminants sociaux de la santé. Ont pris part à cette formation, 55 responsables des OSC et OCB des communes de NGIRI-NGIRI, BANDALUNGWA, BUMBU, et SELEMBAO dont les noms sont repris sur la liste de présence en annexe du présent article.   Téléchargez l’intégralité du rapport en format PDF en cliquant ici   La conduite de l’activité a été assurée par Mr Olivier MBANGISA, Secrétaire Exécutif du CODIC/VPK ; Le Secrétariat et la logistique de l’activité ont été confiée au staff du secrétariat Provincial composé en l’occurrence de Mr Trésor KATENDE, secrétaire Exécutif Adjoint CODIC/VPK et de Mme Niclette BADIBOMBI Chargée des Finances CODIC/VPK assisté du staff de l’ONG VOFA ; Formateurs et intervenants Les Formateurs ou intervenants étaient au nombre de 4 personnes à savoir : Mr Deo KALIMERO PCA du CODIC ONG intervenant sur le thème de « L’EMPOWERMENT » ; Mr Gaston KAYENGA Coordonnateur National du CODIC intervenant sur les thèmes du « DAS et les DSS » ; Mr Ernest ITENDE Secrétaire Administratif du CODIC qui a fait la « PRESENTATION DU CODIC » Mr Prosper MBAU Conseiller du CODIC intervenant sur le thème de « LA PARTICIPATION COMMUNAUTAIRE ». L’objectif global de cette formation était de former les responsables des OSC et OCB sur le DAS, DSS, LA PARTICIPATION COMMUNAUTAIRE ET EMPOWERMENT. Objectifs Les objectifs spécifiques poursuivis par cette formation étaient les suivants : Sensibiliser et conscientiser les responsables des OSC et OCB sur les 4 concepts Vulgariser les 4 concepts au sein des OSC et OCB nouvellement recrutées ; Outiller les responsables des OSC et OCB sur les 4 concepts comme moyen d’apporter un changement social, environnemental et de santé publique par l’approche du droit et non de service ; Inviter les responsables et leurs structures à rejoindre le mouvement national pour la santé (MONDAS) Résultats Les résultats attendus de cette formation étaient : Les responsables des OSC et OCB sont sensibilisés et conscientisés sur le DAS, DSS, Empowerment et participation communautaire ; Les concepts du DAS, DSS, Empowerment et participation communautaire sont vulgarisées, comprises et maitrisées par les responsables et leaders des OSC et OCB ; Les responsables des OSC et OCB sont outillés sur les 4 concepts en vue d’apporter un changement social, environnemental et de santé publique dans leur milieu par l’approche du droit et non de service ; Les responsables des OSC et OCB adhèrent au MONDAS et PHM ; La méthodologie utilisée durant l’activité était la suivante : les exposés, le brainstorming, les échanges et débats. Conclusion En clôture de la formation, le Secrétaire Exécutif du CODIC/VPK et modérateur de l’activité Mr Olivier MBANGISA a remercié les participants pour avoir répondu massivement à cette formation et les a félicité pour leur assiduité ainsi que les questionnements pertinents démontrant l’attention toute particulière porter en l’endroit de la formation sur le DAS ; cela augure une plus grande implication et appropriation de ces concepts au sein de leurs organisations et communautés de base car le DAS doit être vécu au quotidien en adoptant un comportement favorisant et améliorant la prise en compte du DAS. Il a terminé par leur dire qu’une suite d’activité auront lieu après cette formation avec le secrétariat exécutif de la VPK pour consolider les acquis de celle-ci. Il a chuté par une invite à prendre la photo de famille et le verre de l’amitié pour sceller le nouveau partenariat avec le CODIC en vue de la conquête du droit à la santé. Ayant débuté à 10H, la formation sur le DAS, DSS, PARTICIPATION COMMUNAUTAIRE, et l’EMPOWERMENT a pris fin à13H par des échanges en aparté. Fait à Kinshasa, le 20/07/2017 POUR LE SECRETARIAT EXECUTIF VPK OLIVIER MBANGISA

4ème Forum Social Congolais: Le CODIC prend part en assurant les activités d’assainissement du site

Organisée par les forces vives de la société civile congolaise du 28 au 30 août 2016 à l’école primaire officielle Lisala dans la Commune de Kasavubu/Kinshasa, dans un contexte politique singulièrement tendu en RDC, Le Collectif de Développement Intégré au Congo, CODIC n’est pas resté en marge de la quatrième édition du Forum social congolais.

L’ Assainissement c’est mon problème

La commune de LIMETE couvre cinq quartiers dont le quartier KINGABWA qui est parmi les quartiers sales de la commune couvert des ordures, les eaux stagnantes,etc le collectif développement intègre au Congo avec  ses membres du réseau, l’ONG amour et vérité ,ONG MANGENDA ont organisé une activité sur terrain d’assainissement, désherbage, curage des caniveaux à kingabwa dans le souci de rendre ce lieu salubre, qui connaissait un débordement des eaux, stagnation et poussée d’herbes qui attirent les insectes nuisibles à la santé et qui cause des maladies .comme le droit à la santé(DAS) vise le bien être, la prévention des maladies, l’auto-prise en charge et la synergie, C’est dans cette optique que le CODIC ,l’ONG MANGENDA, l’AV ont réalisé cette activité en synergie pour promouvoir la participation communautaire. L’assainissement consistait à : • Débroussaille et ramassage de bouteilles en plastique et ordures ménagères • Curage des caniveaux • Transport des ordures dans les parcelles de personnes qui connaissent la stagnation de l’eau chez eux • Sensibilisation des marchands Dans cette activité sur la voirie publique, nous avons été accompagnées par la police locale dépêchée pour la circonstance par les autorités de la commune. Après ce travail de portée patriotique , la délégation du CODIC est allé visiter le siège de l’ong amour et vérité ,nous remercions tous pour les efforts fournis, vive la synergie

La filière femme en marche pour le grand forum

Dans le cadre préparatif du grand forum de femmes  les jours qui viennent, les activités pré forum ont débuté par différentes  formations il y a un adage qui dit « Éduquer une femme c’est éduquer une nation » Plus de 140 femmes de différentes organisations se sont réunis autour du droit à la santé et ses déterminants sociaux, l’empowerment et la participation communautaire à kimbanseke à la salle saint Fréderic vers la route MOKALI en présence du chef quartier ! L’objet de la rencontre était d’apprendre, connaitre, maitriser et pratiquer le droit à la santé(DAS) dans nos milieux et familles. Celle-ci vise le bien être, la prévention des maladies (courantes et récurrentes), l’auto-prise en charge avec une conscience individuelle et collective dans notre société. Les femmes très satisfaites de la formation, nous ont promis de s’impliquer à la lutte de toutes formes des injustices sociales et à participer bénévolement et volontairement pour l’intérêt de la communauté. Le chef du quartier très ému de la formation a décidé de travailler avec les membres de son quartier sur les problèmes qui leur guettent et d’autres chefs du quartier .il nous a promis de nous indiquer les lieux ou se fera la grande activité de l’assainissement dans les prochains jours.                                           GASTON KAYENGA

Réunion avec les organisations de la filière agriculture membres du CODIC

Le Collectif de Développement intégré au Congo (CODIC) en sigle à organisé, ce Jeudi 24 Décembre 2015, une réunion avec quelques organisation de la filière agriculture.  KINSHASA. La dite réunion a commencé par un mot d’ouverture du PCA CODIC Mr. Deogratias  KAMALIRO, qui a ensuite présenté le CODIC avant de chuter avec les objectifs de la filière agriculture.  sur base de son discours, des échanges on eu lieu avec les organisations pour établir le lien entre les objectifs de chacune d’entre elles et la construction de cette filière. Ainsi, le processus en cours consiste en ce que les participants à cette réunion, effectuent des séances de restitution dans leurs organisions respectives en vue de projeter la constitution du comité de la filière agriculture à une date ultérieure du  mois de Janvier 2016 Reagan KIMBILA HR CODIC/Kinshasa